Public : adultes et adolescents à partir de 10 ans
Durée : de 10 à 15 minutes par personne. Maximum 12 passages échelonnés sur une journée avec un minimum d'une demi-heure entre deux passages
Espace scénique : 15 mètres carrés - Peut être joué en intérieur ou en extérieur. Pour préserver l'intimité de la performance, l'espace de représentation doit être absolument isolé des sons de l'environnement extérieur ! (les oiseaux sont les bienvenus)
Tarifs : me contacter
Répertoire : nos thématiques s'adaptent en fonction du contexte. Nous pouvons travailler sur un sujet particulier et/ou à partir d'un genre spécifique (poésie, conte, musique...)
Cette forme a été jouée en :
- Allemagne et Estonie (Nacht der Klang, Offenen Ateliers, Bielefeld 2014, 2015 – Hanseatic Festival, Villandi 2015) avec Marcus Beuter et Marie-Pascale Gräbener
- France (Festival Feufliâzhe, Habère-Poche 2017) avec Sébastien Sauvage
- Suisse (Künstlerhaus, Soleur 2018) avec Yves Lavoyer, Daniel Kriegger, Annette Kaufmann
Laureline Clair : conte / Sébastien Sauvage : percussions - Festival de musique alpine "Le Feufliazhe" 2017
« Ca faisait bien longtemps que je n'avais eu une histoire pour moi seule... C'est un grand plaisir de se sentir ainsi privilégiée et un bonheur pour les oreilles car l'histoire était belle de mots et de sons. Et aussi un plaisir pour les yeux car le 'décor' naturel était grandiose. » Pascale
« Un concert pour une personne en pleine nature, non seulement c'est émouvant, mais il y a aussi cette proximité avec les musiciens, l'intimité délicate. Les corps sont situés autour de nous, à la fois dans l'espace extérieur et toute l'épaisseur de leurs espaces intérieurs, avec lesquels on rentre en vibration, nous récepteurs privilégiés. Et quelle surprise quand les sons du paysage viennent se mélanger avec tout cela. » Alain
« D'abord, j'étais attiré par l'originalité de la proposition. Un concert pour une seule personne, quelle idée ? Et j'étais intrigué, comment ce sera possible de le mettre en œuvre ? Le lieu, je connais, en haut de la piste des débutants du Bois Noir, mais je ne suis jamais allé là en été et de voir le parking installé avec les tentes du Feufliâzhe change complètement le contexte. Il faisait un temps gris, orageux et en haut de la piste, il y avait une tente pour protéger le matériel. Mais quand je suis arrivé sur place, le soleil est sorti des nuages. On a déplacé le fauteuil dehors et le concert a commencé. Les mots de Laureline flottaient sur le paysage et la musique de Sébastien leur donnait des ailes mais aussi des racines. J'étais ému et transporté. Comment rien devient quelque chose ? Comment zéro passe à un et puis ensuite à plusieurs ? Je réfléchis encore. » Nicholas